Le ciel a l'air si bleu ailleurs. Dans une paix tranquille loin de tout, des grandes villes, des grands peuples.

Un endroit sans jeux politiques, sans désinformations. Juste quelques personnes, quelques instants suspendus sans à coté?

Peut être au bout de notre nez, en face de nos yeux. On prend des décisions irréfléchies, des décisions qu'on juge bien vis à vis d'une norme, d'une fausse norme que de fausses personnes nous ont inculqué. On s'efforce de ne pas regretter alors qu'on a pri aucuns risques. Le confort social, c'est le cercueil du monde.

Et si seulement on choisissait quelque chose qui sort de l'ordinaire, quelque chose de nouveau, une aventure? Alors on se confronte à trop de problèmes, trop de trop... La jungle, c'est ce que nous construisons, et je ne veux plus y participer.

Il y a trop de feux rouges dans les grandes villes j'ai préféré me mettre au vert, comme le disait Ridan.

Simplement contempler quelque chose qui nous fait paraître vivant, petit, respectueux. Que ce soit une fille, une montagne ou une chanson, juste ce moment là toute ma vie. Pas besoin de s'extasier devant quelque chose, l'extase n'a rien à voir avec ça, car l'extase c'est l'excitation de l'âme et elle disparaît comme une excitation physique. Non, la contemplation c'est la paix, c'est se retrouver face à soi même, face à l'absurde de son image, et ne rien pouvoir dire ni ne rien pouvoir faire, si ce n'est regarder.

Comment décrire cette sensation? Le plus simple serait de la vivre, parce que au monde il n'y a rien de plus... unique.

Vivez mes amis. Demain c'est déjà trop tard.

Carpe Diem.

Sia - My Love

A vouloir vivre avec son temps, on meurt avec son époque.

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